photo JULIETTE ET L'ORCHESTRE DE TANGO SILBANDO

JULIETTE ET L'ORCHESTRE DE TANGO SILBANDO

Concert, Musique

GRENAY, 62160

Le 01/04/2022

“Ce n’est pas un secret, j’ai grande passion pour le tango. J’ai raconté déjà que la première voix chantée que j’ai entendue, enfant, était celle de Carlos Gardel, sortie d’un 33T grésillant que mon père adorait. Plus tard, entre hommages rigolos (“l’Homme A La Moto” traduit en “El Hombre con la motocycletta” avec accent argentin de pacotille devenu un standard de mes concerts en piano solo et sérieuses révérences (“Volver” enregistré dans le cd “No Parano”) cette passion d’enfance n’est pas feinte, ni éteinte. Aussi quand je rencontrai l’orchestre Silbando dont j’avais écouté l’album “Mano Sinistra” avec délectation, outre le fait que je leur ai proposé de faire ma première partie Salle Pleyel en avril 2019, je savais que l’aventure se poursuivrait d’une façon ou d’une autre. Voilà qu’elle commence aujourd’hui. Chanter avec ce magnifique Silbando qui n’est pas sans rappeler les grands orchestres argentins tel ceux d’Osvaldo Pugliese ou Leopoldo Federico peut se résumer en une formule : “Je vais me régaler !”. Vous aussi ! Juliette

photo JULIETTE ET L'ORCHESTRE DE TANGO SILBANDO

JULIETTE ET L'ORCHESTRE DE TANGO SILBANDO

Musique

Grenay 62160

Le 01/04/2022

“Ce n’est pas un secret, j’ai grande passion pour le tango. J’ai raconté déjà que la première voix chantée que j’ai entendue, enfant, était celle de Carlos Gardel, sortie d’un 33T grésillant que mon père adorait. Plus tard, entre hommages rigolos (“l’Homme A La Moto” traduit en “El Hombre con la motocycletta” avec accent argentin de pacotille devenu un standard de mes concerts en piano solo et sérieuses révérences (“Volver” enregistré dans le cd “No Parano”) cette passion d’enfance n’est pas feinte, ni éteinte. Aussi quand je rencontrai l’orchestre Silbando dont j’avais écouté l’album “Mano Sinistra” avec délectation, outre le fait que je leur ai proposé de faire ma première partie Salle Pleyel en avril 2019, je savais que l’aventure se poursuivrait d’une façon ou d’une autre. Voilà qu’elle commence aujourd’hui. Chanter avec ce magnifique Silbando qui n’est pas sans rappeler les grands orchestres argentins tel ceux d’Osvaldo Pugliese ou Leopoldo Federico peut se résumer en une formule : “Je vais me régaler !”. Vous aussi ! Juliette